mars 2020

Le coût de la transformation digitale

Comme je l’ai déjà dit plusieurs fois, la transformation digitale c’est avant tout une histoire de gains, mais c’est aussi une question de coûts ! Et la question qui revient souvent, c’est combien coûte la mise en place d’un nouveau logiciel ? Parce que l’argent, c’est quand même le nerf de la guerre ! Allons-y !

En fait, quand on parle de coûts, il y a les coûts connus, c’est le coût de la licence, par exemple ce que tu vas trouver sur le site de l’éditeur. Mais il y a aussi tous les coûts cachés. Ce n’est pas parce qu’ils sont cachés qu’ils n’existent pas, loin de là ! En fait, cela représente 2 à 3 fois le prix initial. Mais qu’est ce qu’il y a au juste derrière ses coûts cachés ?

Dans les coûts cachés, ou plus ou moins cachés, on retrouve traditionnellement : 1) le consulting, 2) la migration des données, 3) la customisation, 4) l’intégration, 5) la formation et 6) la maintenance.

1 : Le consulting.

Dans certains cas la mise en place d’un nouveau logiciel, va s’accompagner d’une mission de conseil, qui va consister à bien définir le périmètre et les impacts de ce nouveau logiciel. Généralement il s’agit de prix jour / homme, et lorsque le projet dérape et prend plus longtemps que prévu l’addition s’envole ! Alors un petit un conseil pour le consulting, il faut bien s’assurer que le prix facturé correspond aux compétences et à l’expérience de la personne qui va effectuer la mission. Car certaines sociétés vont être tentées de te facturer un junior au prix d’un senior. Ce qui serait bien, c’est de pouvoir caper le montant cette prestation. C’est à dire, définir un prix maximum que l’on ne
dépassera pas, quoi qu’il arrive.

2 : La migration des données.

Lorsque l’on met en place un nouveau logiciel, évidemment on ne veut pas une coquille vide. On veut récupérer les données existantes. Et ça, ça a un coût ! Généralement c’est un montant forfaitaire qui va dépendre de la qualité des données à importer et de leur volume.

3 : La customisation.

Alors certains logiciels ne sont tout simplement pas customisables, tout au plus paramétrable. Mais ce n’est pas du tout la même chose ! Pour la customisation on parle de modifier des fonctions existantes, ou d’ajouter de nouvelles fonctions. Et cela coûte cher ! Il faut spécifier, implémenter et tester. Il faut savoir que concernant la vraie customisations, le montant peut très vite s’envoler ! On parle de jour / homme. Il faut bien comprendre que le coût va dépendre de la qualité des spécifications. Et forcément, c’est ça qui va pêcher. Il faut absolument obtenir des exemples concrets de spécifications qui ont déjà été réalisés, avec des exemples de coûts. Et le mieux, c’est d’obtenir une grille de montants forfaitaires en fonction de développements types.

4 : L’intégration.

L’intégration, c’est de faire en sorte que ton nouveau logiciel va communiquer avec l’existant : soit ta boite mail, soit les logiciels qui existent déjà. Là encore, on va retrouver des tarifs en jour / homme, mais tu peux facilement négocier des montants forfaitaires en fonction du type de connecteurs.

5 : La formation.

La formation c’est souvent un poste un petit peu négligé, mais qui a son importance. Il faut non seulement prendre en compte la formation initiale, des gens qui sont déjà dans l’entreprise, mais en plus la formation des nouveaux venus, ceux qui vont arriver en cours de route.

6 : La maintenance.

Il faut absolument s’assurer que ce poste a été pris en compte dès le départ. Il faut bien évidemment différencier ce qui concerne les défauts, de ce qui a déjà été payé : sur l’intégration des données ou la customisation, dont la maintenance est compris dans le prix, et les petits ajustements qui vont avoir lieu en cours de route ou les oublis. Tous ces coûts sont plus ou moins cachés, ce qui est important c’est de savoir qu’ils existent et de prévoir un budget. Quand tu payes sens de 100 de licence, tu prévois 150 ou 200 de coûts cachés.

Dans la masterclass “comment diriger à l’ère du digital” Je détaille cela avec des exemples concrets. J’explique tous les trucs des sociétés de service pour faire monter l’addition et surtout comment faire pour les contourner ! C’est le dirigeant qui va prendre la décision d’achat en dernier ressort, et c’est important qu’il comprenne ce qui se passe et qu’il soit capable de challenger ses équipes et les fournisseurs. Les inscriptions pour la saison 2 de cette masterclass vont bientôt commencer officiellement, mais tu peux d’ores et déjà te pré-inscrire en envoyant un mail à masterclass@businesswidg.com Cela va te permettre de réserver gratuitement ta place et surtout d’accéder au webinar gratuit dans lequel je donne plein de conseils,, pratiques. Et en plus, j’explique en détail comment fonctionne cette masterclass et quels sont les bénéfices que tu va en retirer ! Les places sont limitées car un des gros points forts de cette masterclass, c’est tu va bénéficier d’un point du personnel pour répondre à toutes questions spécifiques ! Et oui, la transformation numérique c’est ici, et je peux t’aider !

Epidémie de ransomware, que faire ?

La transformation digitale ce n’est pas sans risque, ou plutôt, tu devrais toujours considérer les nouveaux risques qu’introduit la transformation digitale dans ton entreprise. Aujourd’hui je vais donc parler de ransomware.

Et en regardant cette vidéo, 1) tu vas comprendre pourquoi ce n’est pas prêt de s’arrêter et 2) comment éviter d’être le prochain sur la liste. Aller, allons-y !

Pour commencer, qu’est ce qu’un ransomware ? C’est un logiciel malveillant qui t’empêche d’accéder à ton ordinateur ou a tes données en les cryptant. Et le seul moyen de récupérer des données, c’est de payer une rançon, d’où le nom ransomware ! Evidemment, même si tu payes, tu n’es jamais sûr de pouvoir récupérer tes données. Mais pourquoi les entreprises sont de plus en plus impactées ?

1) Parce que ce sont des cibles faciles !

2) Parce que pour elles, leurs données sont vitales.
Elles sont plus susceptibles de payer une rançon.

et 3) Parce qu’elles sont supposées avoir de l’argent.

Alors, que faire pour se protéger ?

1 : Le matériel informatique

D’abord, le matériel informatique de l’entreprise, c’est un matériel professionnel ! Donc on ne fait pas ce qu’on veut avec ! On évite d’installer n’importe quoi dessus. On bloque les ports USB et on évite que n’importe qui ait accès aux ordinateurs en libre accès.

2 : Accès aux données

Il faut mettre en place des restrictions d’accès aux données !

3 : On éduque les gens.

Parce que le maillon faible c’est toujours l’humain ! La principale source d’infection c’est d’ouvrir une pièce jointe infectée dans un mail, ou alors, d’aller regarder ce qu’il y a sur une clé USB trouvée dans la rue.

4 : Les antivirus

Fait en sorte d’avoir un antivirus sur tous tes postes. Pas de fausses économies ! L’antivirus est obligatoire ! Et évidemment, tous tes logiciels doivent être à jour. Ça concerne aussi ton système d’exploitation.

5 : Protège ton réseau !

Et empêche n’importe quel appareil de se connecter dessus. Seuls les appareils autorisés doivent avoir le droit de se connecter sur ton réseau Et ça vaut évidemment pour le WIFI.

6 : Les logiciels crackés

Evidemment, tu n’utilises pas de logiciels crackés que tu as récupéré sur internet. Parce que d’abord c’est illégal. Et ensuite, c’est un excellent cheval de Troie pour introduire un ransomware.

7 : Les logiciels SaaS

7 : Et utilise des logiciels en mode SaaS (Software as a Service), parce que l’accès à des données n’est plus lié à tes ordinateurs. Et un serveur qui héberge un logiciel en mode Software as a Service est moins sensible aux principales sources d’infection.

Dans tous les cas, tu as à faire à des bandes criminelles organisées, donc a priori, bien plus fortes que toi ! Mais ce qui est certain, c’est qu’entre deux entreprises équivalentes, elles choisiront toujours la cible plus facile. Donc, applique les précautions de base !

Et voilà c’est déjà la fin de cette vidéo mais c’est un sujet que je traite bien plus en détail dans la masterclass “diriger à l’ère du digital”. C’est une masterclass spécialement conçue pour les dirigeants pour leur permettre de maîtriser les fondamentaux de la technologie et d’appréhender les risques et les opportunités liés à la transformation digitale. La saison 2 de cette masterclass va bientôt être lancée de façon officielle, mais en attendant, tu peux déjà te pré-inscrire en envoyant un mail à masterclass@businesswidg.com. Ça ne coûte rien et ça peut être très utile parce que premiers inscrits, premiers servis ! Et oui ! Le nombre de places est limité pour cette masterclass. Parce que l’intérêt de cette masterclass, c’est que nous te proposons un point personnalisé pour répondre à tes questions spécifiques. Si tu veux en savoir plus sur cette masterclass, il y a un webinar pré-enregistré. Non seulement je te donne des conseils directement applicables, mais plus, je t’explique dans le détail comment se déroule cette masterclass et quels sont les bénéfices pour toi.

SaaS ou Cloud, quelles différences ?

Tu vas souvent entendre parler de SaaS : Software as a Service ou de Cloud et à première vue ça peut paraître la même chose mais en fait pas du tout ! Voici une petite vidéo pour te permettre de savoir de quoi on te parle quand quelqu’un utilise un de ces deux termes.

1 : Le SaaS

Donc le SaaS, Software as a Service, c’est un mode de commercialisation du logiciel. Tu n’achètes plus une licence perpétuelle d’utilisation d’un logiciel, mais tu loues l’utilisation de ce logiciel. Et ce contrat de location inclut un certain nombre de services, dont les principaux sont l’hébergement et la sauvegarde des données. Tu arrêtes de payer tu ne peux plus accéder au logiciel. On trouve parfois des logiciels SaaS en mode gratuit. Le principe est le même sauf que le loyer est de zéro, mais ce n’est pas pour ça que cela est gratuit ! Il faut bien que ton éditeur paye ses serveurs pour héberger le logiciel. Donc demande toi où est le truc, car rien n’est jamais gratuit ! Une petite différence entre le mode SaaS et le mode achat d’une licence perpétuelle, c’est que d’un côté tu as des charges, de l’autre côté tu as des immobilisations incorporelles.

2 : Le Cloud

Maintenant, le cloud. Le cloud c’est le fait de déporter une partie de son infrastructure informatique chez un fournisseur et de pouvoir y accéder par Internet. C’est de la technique ! Donc par définition, ton logiciel SaaS est dans le cloud. Il est hébergé sur des serveurs auxquels tu accèdes par Internet. Un cloud privé, c’est la même chose sauf que le fournisseur qui héberge tes données, et bien en fait, c’est toi ! Et tu peux très bien avoir un logiciel pour lequel tu achètes une licence d’utilisation perpétuelle mais hébergé dans le Cloud . D’un côté technique, de l’autre, méthode de commercialisation.

3 : Logiciel On-premise

Tu entendras certainement aussi parler de logiciels on-permise. C’est un logiciel qui est accessible sur Internet mais hébergé sur tes propres infrastructures dans le cloud privé en fait. Dans ce cas il n’y a plus de services associés puisque c’est toi qui gère l’hébergement et la sauvegarde des données. Et pour compléter le tableau tu peux avoir un logiciel on-premise avec un système d’abonnement plutôt que des licences perpétuelles.

L’avantage d’un logiciel en mode SaaS c’est que c’est un logiciel clé en main. Tu ne t’occupes ni de l’hébergement, ni de l’installation, ni des mises à jours, ni de la sauvegarde des données. L’inconvénient c’est que tu peux avoir l’impression payer à vie, mais en fait, c’est exactement la même chose dans le cas d’une licence perpétuelle. Tu payes une maintenance qui te permet d’avoir les dernières versions et les corrections d’anomalies. Ou alors tu te retrouves vite avec un logiciel obsolète. Donc en résumé, le Cloud est une infrastructure informatique qui te permet d’accéder à des logiciels par internet. Un logiciel en mode SaaS est un logiciel que tu loues avec des services associés. D’un côté on a quelque chose de technique : le Cloud et de l’autre, quelque chose de commercial : le SasS.

Un logiciel on-permise est un logiciel accessible sur internet, mais que tu héberges toi-même, et qui peut être commercialisé sous forme d’abonnement. Le vrai inconvénient du mode SaaS, c’est que pour beaucoup de ces logiciels il n’y a pas possibilité de faire des demandes d’évolution spécifiques. En fait, il faut faire avec ce qu’il y a dans le logiciel, tu ne peux rien changer. Mais ce n’est pas un problème technique, c’est juste plus facile et plus rentable pour les éditeurs. Beaucoup d’éditeurs ne sont pas organisés pour gérer ces demandes spécifiques

Voilà, c’est la fin cette vidéo. J’espère que bien compris la différence entre SaaS et le Cloud. Donc ce n’est pas déjà fait, tu dois t’abonner à cette chaîne et cliquer sur la petite cloche pour être averti des dernières nouveautés. Car tu l’as bien compris, si tu veux maîtriser la transformation numérique, c’est ici, et je peux t’aider.

3 conseils pour bien choisir son logiciel SaaS

Aujourd’hui une vidéo pour parler des quelques points importants à bien prendre en compte lorsque tu veux mettre en place un logiciel d’entreprise. Je parle de logiciel dans le cloud, de logiciels en mode Software as a Service. Ce n’est pas tout à fait la même chose, mais on ne va pas rentrer dans les détails.

On va se concentrer sur les points à bien prendre en compte pour ne pas se planter et hop c’est parti. L’idéal serait de pouvoir faire un test exhaustif mais ce n’est pas toujours possible. Un test exhaustif c’est long et ça demande beaucoup de ressources car il faut mettre en place un jeu de données représentatif.

Prenons l’exemple d’un logiciel de gestion notes de frais parce que ça parle à tout le monde. Cela ne sert à rien de tester ton logiciel de notes de frais en créant un seul utilisateur et en saisissant une ou deux notes de frais.En faisant ça, tu vas te concentrer uniquement sur l’aspect visuel sur le fait que le logiciel est sympa, qu’il est “user friendly” mais tu ne vérifiera pas s’il correspond à tes besoins.

Pour tester le logiciel, il faudrait créer autant d’utilisateurs qu’il y en aura à la fin et importer des centaines, voire des milliers de notes de frais pour voir comment le logiciel se comporte dans la vraie vie. Tu seras prêt à vérifier si tu peux récupérer tes données dans son logiciel de paye ou ton logiciels RH, et tester les fonctionnalités de reporting. Donc si tu n’as pas le temps ni les moyens de faire un test exhaustif de ton logiciel, voici trois points à prendre en compte pour ne pas te tromper.

1 : Appel le service client

Pour moi ce qui est important c’est de
pouvoir appeler l’entreprise et de voir comment ça se passe. Je ne parle pas d’appeler le service commercial parce qu’avec un service commercial ça se passe toujours très bien et tout est merveilleux. Je te parle d’appeler le service client ! Les gens qui vont te répondre quand tu auras un problème ! Comme ça tu pourras voir combien de temps les gens mettent à te répondre, voir si c’était un numéro normal ou un numéro surtaxé, et surtout quels sont les horaires pendant lesquels qui peut appeler. Et surtout, si ont dit que tu ne peut pas appeler la hotline si tu n’est pas déjà client, c’est mauvais signe !

2 : Demande à parler à un technicien

Ensuite il faut savoir que pour tous ces logiciels dans le cloud, il y a beaucoup de marques blanches. C’est à dire que l’entreprise qui te vends le logiciel ne l’a pas fabriqué. En fait, elle a racheter un logiciel générique sur lequel elle a collé son logo ! C’est difficile de s’en apercevoir mais un bon moyen c’est de demander à organiser un point technique avec ton service informatique, même si tu n’as pas de service informatique ! Si la société n’est pas capable de trouver quelqu’un pour parler technique, c’est très très mauvais signe ! Les questions techniques que tu peux poser sont par exemple :

Quel est le langage de programmation ? Où est hébergée la solution ? Est-ce qu’il y a des serveurs de secours ? Comment sont sauvegardées les données ? A chaud ? A froid ? Est-ce que je peux récupérer une sauvegarde de mes données ? Est-ce que vous pouvez la transférer automatiquement par FTP ?

Enfin, il y a des tonnes de questions à poser pour s’apercevoir si tu n’as pas un commercial déguisé en technicien, en face de toi… Le dernier élément, c’est le prix ! On veut tous avoir la meilleure qualité pour le plus petit prix, mais il y a quand même un lien entre la qualité et le prix. Je m’explique.

3 : Vérifie que le prix est cohérent avec le service proposé.

Combien faut-il de clients à une société qui vend des logiciels pour quelques dizaines d’euros par mois pour être rentable ? Et bien la réponse, c’est : beaucoup ! 500 clients à 10 euros par mois ça ne permet pas d’entretenir une grosse équipe ! Et évidemment, tu vérifies les informations que tu vas trouver sur le site de l’éditeur. Par exemple un éditeur qui t’annonce qu’il a des milliers de clients mais si tu vas voir sur societe.com, tu te rends compte que la société a un ou deux salariés et ne publie pas ses comptes depuis plusieurs années, c’est pas forcément très bon signe… Il y a beaucoup plus de détails dans le livre “pas de place pour le hasard”, mais si tu vérifies systématiquement ces trois points, tu n’auras pas de problème.

1) Appel le service client

2) Demande à parler à un technicien

3) Vérifie que le prix est cohérent avec le service proposé.

Si tu as déjà eu une expérience malheureuse avec un logiciel à la limite de l’escroquerie n’hésite pas à le poster en commentaire, ça servira certainement à plein de monde ! N’oublie pas de t’abonner à cette chaîne si ce n’est pas déjà fait, et de cliquer sur la petite cloche pour être averti des prochaines vidéos. En tout cas, tu es sur la bonne voie pour réussir la transformation numérique de son entreprise. Parce que tu le sais, la transformation numérique, c’est maintenant ! C’est ici ! Et je peux t’aider.

BusinessWidg apporte simplicité, flexibilité et évolutivité aux logiciels d’entreprise

Après quelques vidéos sur comment faire un tableau de bord ou calculer certains indicateurs de e-commerce, il est temps de parler de BusinessWidg. Car même si tu as déjà compris que BusinessWidg peut t’aider à faire tes tableaux de bord, c’est bien plus que cela.

Allons-y ! Avant de décrire CE que l’on fait, j’aimerais m’attarder un peu sur POURQUOI on le fait. Car comme dirait Simon Sinek, c’est le pourquoi qui est important. Et si un jour nous sommes amenés à travailler ensemble, ce que je ne peux qu’espérer, c’est parce que au final on partage une certaine vision des choses. Est-ce que tu ne trouves pas qu’il y a une légère différence entre ce que tu as sur ton smartphone et les logiciels que tu utilises au travail ? Est-ce que tu penses que les logiciels d’entreprise sont toujours adaptés à ce que tu fais ? sont simples à utiliser et répondent aux enjeux de ton entreprise ? Et bien moi, je ne le pense pas ! Apporter cette simplicité, cette flexibilité cette évolutivité pour répondre aux défis et aux enjeux d’aujourd’hui, c’est exactement la raison d’être de BusinessWidg. Tout ce que l’on fait c’est ça !

1 : Les modules autonomes

On apporte cette simplicité, cette flexibilité cette évolutivité à travers des modules autonomes que tu peux utiliser en complément des logiciels que tu as déjà. Par exemple, tu as une boutique en ligne, ou même deux et tu veux recevoir tous les lundis matin un tableau de bord consolidé, ou tu reçois des factures PDF dont tu veut extraire des informations pour pouvoir les mettre dans un tableau Excel automatiquement et pouvoir importer tout ça dans ton logiciel favori plutôt de tour re-saisir.

1 : Nos catalogues de logiciels complets

On apporte aussi cette simplicité, cette flexibilité, cette évolutivité, avec des logiciels complets regroupés dans un même environnement. BusinessWidg propose un catalogue de logiciels qui est en train de s’étoffer pour pouvoir répondre à tous les besoins des entreprises. On en a développé quelques uns nous mêmes et on travaille avec des éditeurs pour qu’ils intègrent directement leurs logiciels dans BusinessWidg. Cela concerne des startups qui veulent changer le monde mais n’ont pas envie de réinventer la roue au niveau des fonctions de base des logiciels, ou des éditeurs qui ont des logiciels éprouvés mais sur des technologies un peu vieillissants. Tous les logiciels profitent des fonctions de base de BusinessWidg la récupération de données dans des documents PDF, le reporting, tous les logiciels n’utilisent plus qu’un seul mot de passe mais en plus, tous les logiciels fonctionnent avec une logique commune et ça, ça simplifie la vie de tout le monde ! Ce que l’on veut et tout ce que l’on fait pour, c’est qu’il ne soit pas plus compliqué ni plus risqué d’installer un logiciel d’entreprise que d’installer une app sur un smartphone. Et évidemment, ces vidéos participent aussi à cette volonté d’apporter de la simplicité aux entreprises. Et il y a encore plein d’autres choses à venir dans les prochains mois ! Alors évidemment, si ce n’est pas déjà fait, tu dois t’abonner à cette chaîne. Ah oui, un petit détail…. Pour t’abonner, il faut avoir un compte sur YouTube pour ceux qui savent pas trop …

Je disais donc, t’abonner à cette chaîne et cliquer sur la petite cloche pour être averti des prochaines vidéos. Tout cela concourt à la transformation digitale des entreprises. Parce que tu le sais, la transformation digitale, c’est ici, je peux t’aider ! Ouais… je peux t’aider ! Ouais !

La fréquence d’achat, un indicateur important pour le e-commerce

Dans la série revisitons les indicateurs de e-commerce : la fréquence d’achat. Alors, oui ! Tu as aimé la vidéo sur le panier moyen, tu vas adorer celle sur la fréquence d’achat ! Car cela va te permettre de mieux planifier des actions marketing.

Alors parlons peu, mais parlons bien !

1 : La fréquence d’achat, définition

La fréquence d’achat c’est le nombre moyen de jours entre deux achats. Je sais que tu es perplexe parce que j’ai prononcé le mot “moyen” et tu te dis que je vais te refaire le coup des déciles. Mais pas du tout. Et bien non. Dans le cas de la fréquence d’achat la moyenne est plutôt pas mal adaptée. Le problème c’est que si tu calcules la fréquence d’achat moyenne de tous tes clients, là pour le coup, c’est débile ! Mais à quoi ça peut bien servir cette fréquence d’achat ? Hein, je te le demande. Eh bien ça sert à savoir si son client a une probabilité non négligeable de recommander bientôt ou alors, s’il aurait dû recommander et qu’il ne l’a pas fait.

Dans les deux cas, cela te permet de lui donner un petit incentive, de lui donner la petite carotte qui va faire qu’il va acheter. Mais ce qui est important, c’est de faire au bon moment. Cela n’a aucun sens de le calculer pour un ensemble de clients donc on calcule cet indicateur pour chaque client ! Et lorsque l’on est dans une fourchette un petit peu avant ou un petit peu après, on se bouge le popotin ! On se remue ! On agit !

2 : Le calcul

Alors pour chaque client, il faut calculer le nombre de jours entre deux achats consécutifs. Ensuite, tu fais une moyenne. Ça, tu connais. Easy! Et enfin, tu regroupes tes clients en fonction de leur fréquence d’achat, et tu définit des seuils d’alerte pour pouvoir programmer tes actions. La fréquence d’achat est un indicateur individuel à chaque client, et c’est un indicateur d’alerte qui te permet de déclencher tes actions au moment le plus propice.

3 : Le pack d’indicateurs

Alors la bonne nouvelle, c’est que cet indicateur, qui est quand même compliqué à calculer va faire partie du pack d’indicateurs e-commerce que l’on est en train de finaliser à BusinessWidg. Ça, c’est une bonne nouvelle. Une très bonne nouvelle ! Et oui ! Tu vas pouvoir bientôt bénéficier de tout plein d’indicateurs tout faits. Ça va être tellement sympa… Elle est pas belle la vie ? Ah ben si elle est belle ! Grâce à qui ? Grâce à BusinessWidg. En attendant la sortie officielle de ce pack, on recherche quelques testeurs pour finaliser le truc alors si tu as un site de e-commerce, conséquent, tu peux nous contacter à contact@businesswidg.com.

Donc tu vas pouvoir tester le pack en avant-première et surtout, bénéficier d’une sacrée ristourne quand on va le sortir ! C’est pas négligeable ! Il n’y en aura pas pour tout le monde parce qu’on recherche juste quelques testeurs pour finaliser. Si tu ne fais pas partie des heureux élus, mais que tu veux quand même bénéficier d’une ristourne. Il y a moyen ! C’est de partager cette vidéo sur les réseaux sociaux avec un gentil message d’accompagnement. Parce que nous à BusinessWidg, on est sensible à la gentillesse.

En attendant de t’éclater avec tes indicateurs, abonne toi à cette chaîne, si ce n’est pas déjà fait, et clique sur la petite cloche pour être averti des prochaines vidéos. Parce que maintenant que tu as commencé la transformation digitale de ton entreprise, il faut continuer ! Et, ce qui est bien, c’est que la transformation digitale, c’est ici ! Et je peux t’aider !

Calcule ton panier moyen de façon intelligente

pour développer ton chiffre d’affaire

Parmi les indicateurs qui sont considérés comme stratégiques aussi bien pour une boutique en ligne que pour un point de vente physique, il y a le panier moyen.

Le paradoxe, c’est que cet indicateur qui est considéré comme stratégique est calculé de façon tellement débile qu’il ne sert à rien la plupart du temps ou à presque rien. Alors voyons comment calculer de façon intelligente ton panier moyen pour qu’il te serve à développer tes ventes. Avant de rentrer dans le détail, un petit rappel : un indicateur ne sert que si tu peux agir derrière sinon ça ne sert à rien !

1 : Le panier moyen

La définition du panier moyen, c’est combien dépensent en moyenne tes clients sur ton site. C’est simple ! Donc, tu prends le montant des ventes, tu divises par le nombre de clients, et hop ! Tu as ton panier moyen. Magique non ? C’est dommage que ça ne serve à rien ! C’est tellement simple… Et bien, parce que maintenant que tu as ce superbe chiffre, obtenu par une magnifique division, à quoi ça sert de savoir que tes clients ils dépensent 72 €50 ou 128 € 30 sur ton site ? Hein ? Gros malin ! Comment tu fais pour augmenter ses ventes avec ça ? Hum ? Comment ça fait avancer le schmilblick tout ça ? Hein ? Je te le demande !

Moi, ce que j’aimerais, c’est que mon panier moyen ils me servent à savoir sur quel client ou quel produit agir pour améliorer les choses . Mais le problème, c’est qu’on vient de faire une moyenne et la moyenne en termes d’analyse, c’est… C’est nul ! Mais toi, tu n’es pas quelqu’un de moyen ! Alors pourquoi te contenterais-tu d’une moyenne ?

Pour te donner une bonne idée de l’inutilité d’utiliser une moyenne. Regardons l’inflation, qui est calculée de façon analogue au panier moyen traditionnel. On t’explique que les prix n’augmentent pas parce que l’inflation est calculé en faisant la moyenne de ton panier de courses standard avec le prix des billets d’avion, des télévisions, des yachts… Enfin, tous les trucs que tu n’achètes pas très souvent ! Quand tu achètes ton pain, malgré tout ce qu’on peut dire sur l’inflation, tu te rends bien compte que son prix augmente bien plus souvent que sa qualité.

2 : Les déciles

Alors la solution, c’est d’utiliser des déciles. On va obtenir une répartition des ventes en 10 ensembles distincts sur lesquels on peut avoir des actions spécifiques. Ce n’est pas un simple changement de calcul, c’est conceptuellement très différents ! Et avec le panier moyen tout aussi traditionnel qu’inutile. Tu as un simple chiffre. Tu ne peux pas faire grand chose. Alors qu’avec un panier moyen réparti en déciles, tu as dix catégories distinctes ! Et évidemment, tu ne vas pas faire la même chose avec tes 10% des ventes qui te rapporte le plus et avec tes 10% qui te rapportent le moins ! Ça serait stupide ! Hein, convenons-en ! En fonction de chaque catégorie, tu vas pouvoir prioriser et spécialiser tes actions commerciales. Trop de la balle ! Pour la pratique, si tu veux savoir comment on calcule concrètement un panier moyen en déciles et ce que cela donne sur de vraies données. On a fait une vidéo bonus. Alors si cette vidéo bonus t’intéresse, tu nous envoies un petit mail à contact@businesswidg.com et on t’envoie un lien comme ça tu peux regarder ça tranquillement.

Donc si tu n’es pas encore abonné à cette chaîne, il faut le faire ! Cliquer sur la petite cloche pour être averti des dernières nouveautés. Et puis, tu sais bien, c’est quand même le seul moyen de ne pas passer pour un crétin fini dans les dîners mondains où on va parler de transformation digitale. Parce que oui ! La transformation digitale, c’est ici ! Et je peux t’aider !

Commence ta transformation numérique par les fichiers Excel

Alors, avant de commencer, il vaut mieux que tu aies vu et liké la vidéo qui traite de ce qu’il faut savoir avant d’utiliser Excel pour ses tableaux de bord. Maintenant attention ! Cette vidéo s’adresse à un public majeur et averti. Parce que ce que tu vas entendre peut te choquer.

Si tu crois encore qu’Excel est un outil magique qui te permet de faire tout et n’importe quoi, c’est que tu fais n’importe quoi. Mais cela va bientôt changer.

1 : Es-tu certain de tes calculs ?

Excel est super puissant mais c’est souvent assez chaud de savoir si tes calculs sont bons. Un simple dollar en trop ou en moins et tous tes calculs sont faux, c’est la cata ! Quand tu n’as encore que trois ou quatre colonnes, ça peut aller. Mais toi, tu as des dizaines de colonnes réparties sur plusieurs onglets avec des couleurs dans tous les sens, parce que toi, rien ne t’arrête, haha. Alors je sais, tu te dis que cela ne te concerne pas parce que toi tu es meilleur que la moyenne. Mais… la triste vérité c’est que ce n’est probablement pas vrai. Cela s’appelle un biais cognitif. Mais tu n’es pas obligé de me croire, et tu peux aller voir ce site qui regroupe les plus grosses catastrophes faites à partir de feuilles Excel. Donc maintenant, tu sais ! Et si tu avais l’habitude de prendre toutes tes décisions basées sur tes super tableaux Excel, tu vas beaucoup moins bien dormir… Beaucoup moins bien….

2 : Peux-tu changer tes feuilles Excel facilement ?

Le principe des indicateurs d’un tableau de bord, c’est de pouvoir les adapter ou d’en créer de nouveaux très facilement et rapidement. Il y a des indicateurs incontournables mais bien souvent tu vas devoir produire des chiffres à la demande, on the fly, PAF ! Et voilà. Cela permet aussi de changer son point de vue sur un angle spécifique pour avoir une analyse plus pertinente. Et c’est toujours plus pratique que de monter sur ton bureau en plein open-space et de crier “Oh Captain, my Captain !” Robin tu nous manques.

Je connais plein de sociétés qui utilisent des feuilles Excel dont personne ne sait comment elles fonctionnent. Et la plus grande hantise de tout le monde c’est que quelqu’un ait besoin d’y toucher. Et je suis sûr que tu en connais aussi. On peut trouver ça normal, on peut trouver ça drôle, on peut trouver ça pathétique, mais la vérité c’est que c’est juste dangereux ! Une feuille Excel est censée te faire gagner du temps. Cela ne doit pas devenir un boulet ! Ne devient pas l’esclave de tes feuilles Excel. C’est souvent la conséquence de la facilité. Au début, on a un petit besoin alors on crée une feuille Excel. Ensuite, arrive quelqu’un qui s’y connait en Excel, ce qui est déjà très louche en soi, et qui propose de te filer un coup de main. Et là on est en mode fête du slip. On rajoute des colonnes, on rajoute des formules, on rajoute des couleurs, et puis des macros tant qu’on y est ! Bah oui, allons-y gaiement, des macros pourquoi pas ? Vous voulez un masque de saisie ? Mais y a pas de problème. Et qu’est-ce qu’elle prendra avec ça la petite dame ? Et on se retrouve avec un “expert Excel”. Ce qui peut être un choix initialement défendable lié au manque de temps, au manque de ressources, au manque de moyens ou aux trois combinés, s’avère être une faute de management lorsque cela s’inscrit dans la durée. Alors tu remercies ton “expert Excel” quant à son investissement et à sa créativité dans l’emploi post-moderne des couleurs dans Excel, et tu lui dis de lâcher l’affaire.

3 : Qui a modifié cette putain de feuille Excel ?

Malgré les efforts de Microsoft pour rendre possible le travail collaboratif avec Excel, c’est toujours fait en dépit du bon sens. C’est le problème de la traçabilité et de l’intégrité des données. Sais-tu d’où proviennent tes données et qui les a modifié ? Tu te retrouves avec tout plein de fichiers, tous stockés dans des endroits plus incongrus les uns que les autres, et on synchronise le tout par mail. Parce que, bah oui, évidemment, le mail ça sert à tout et n’importe quoi. Mais en fait plus personne ne sait qui a touché quoi, qui détient la dernière version de la feuille, celle qui est à jour, ou la moins moins à jour, ou n’importe quoi. Et toi tu, te retrouves à prendre des décisions à partir de chiffres faux, produits à partir de données incomplètes ou obsolètes.A ce niveau là, c’est de la poésie ! C’est de l’art !

Parce que même si tes calculs sont bons, ce qui serait en soi déjà miraculeux, si tes données sont fausses, c’est pas gagné… Pas gagné du tout. Et là, il va te falloir être très fort ! Il n’y a pas de miracle, Excel ne permet pas de garantir l’intégrité de tes données ! Un point c’est tout ! Alors résumons, utiliser Excel pour faire des tableaux de bord, c’est la misère.

1, tu n’es jamais sûr de tes calculs.

2, c’est difficile d’adapter des indicateurs ou d’en créer de nouveaux.

Et 3, tu ne sais jamais si tes données de base sont bonnes et à jour. Mais attention, ce n’est pas parce qu’il y a des problèmes avec Excel qu’il ne faut plus l’utiliser.

Excel est un excellent outil, mais comme tout logiciel, seulement s’il est utilisé dans le cadre de ce pour quoi il a été conçu. Si tu dois remplacer Excel par un outil plus adapté, je ne parle pas forcément du fabuleux outil que propose BusinessWidg, même si… Je te conseille de lire le livre “Pas de place pour le hasard” qui va t’expliquer comment changer de logiciel et t’éviter de tomber dans les pièges les plus grossiers. Voilà, maintenant tu ne pourras plus dire que tu ne savais pas !

Et oui, tu ne regarderas plus jamais un tableau Excel de la même façon, mais cela n’est pas très grave car tu viens de faire un nouveau pas dans le monde merveilleux de la transformation digitale. Car maintenant tu le sais, tu es abonné, sinon fais le tout de suite, et clique sur la petite cloche pour être averti des dernières nouveautés. Je disais donc, la transformation digitale, c’est ici et je peux t’aider.

5 problèmes récurrents avec tes fichiers Excel

Je ne le dirai jamais assez : la transformation digitale c’est avant tout une histoire de gain. Mais une fois qu’on a dit ça, par où commencer ? Alors une bonne piste, c’est de traquer les usages d’Excel. Parce que Excel ça ne doit servir qu’à une et une seule chose, faire des calculs, point final.

Donc, si tu utilises Excel pour faire tes bons de commandes, pour faire tes factures, pour gérer tes clients, pour suivre l’historique de quoi que ce soit, il faut sérieusement penser à l’internement en psychiatrie. Et c’est urgent. Je n’aime pas les analogies parce que c’est caricatural et réducteur. En fait j’adore les analogies !
Mais si tu prends l’exemple d’un marteau. Un marteau ça sert à enfoncer des clous. Si tu l’utilises pour n’importe quoi d’autre, tu as besoin de soin, ou tu vas en avoir besoin rapidement. Et bah c’est pareil avec Excel : si tu l’utilises pour autre chose que faire des calculs, c’est grave. Une fois qu’on a compris que les gens qui utilisent Excel à tord et à travers, c’est un bon moyen d’optimisation, il faut quand même se poser la question de pourquoi ils utilisent Excel, ce ne sont pas tous des crétins finis ! Donc il te faut estimer la dangerosité d’un fichier Excel.

Les indicateurs qui doivent tout de suite t’alerter sur la nocivité d’un fichier Excel sont : un nombre de ligne incalculable, un nombre de colonne incalculable, une utilisation délirante des couleurs, plein d’onglets, et enfin s’il y a plusieurs personnes qui travaillent sur un même fichier Excel et qui passent leur temps à se l’envoyer par mail.
Alors Excel c’est un peu comme ton dressing, trop de lignes ou trop de colonnes, c’est un peu comme si tu as trop de paires de chaussures. C’est compliqué de s’habiller le matin. C’est compliqué de s’assurer qu’on a la bonne paire avec la bonne tenue. Donc s’il y a plusieurs milliers de lignes dans ton fichier Excel, c’est difficile de savoir celles qui contiennent des erreurs, et celles qui n’en contiennent pas.

1 : Trop de colonnes

C’est forcément qu’il y a des choses qui ne servent à rien. Reprenons l’exemple de ton dressing. C’est comme si tu gardes tout le temps tous tes vêtements. Il y a plein de trucs que tu ne vas plus jamais mettre. D’abord parce que c’est démodé, et ensuite parce que ces vêtements ont subrepticement rétréci. Bizarre non ? Donc à garder des choses inutiles dans ton dressing, tu prends le risque de sortir avec quelque chose qui ne te va pas, et en plus, qui souligne de façon assez maladroite ta silhouette. Avec les colonnes c’est pareil. Supprime tout ce qui ne sert à rien.

2 : Trop d’onglets

Plein d’onglets c’est le signe d’un fichier Excel fourre-tout. C’est comme ton dressing si tu commences à rajouter des étagères pour stocker tes confitures ou tes casseroles. Ce n’est plus un dressing.

3 : Trop de couleurs

Plein de couleurs partout, ça c’est grave. C’est un signe manifeste de désordre mental. Non seulement tu as un fichier très complexe, mais en plus tu ajoutes un sens aux données en fonction de codes couleurs que seul toi peut comprendre. C’est dangereux et en plus, c’est moche. La plupart du temps c’est très moche. C’est exactement comme si dans ton dressing tu avais une seule tenue mais que tu collais des étiquettes de couleurs sur chaque vêtement pour savoir quoi mettre en fonction du temps. C’est débile !

4 : Trop d’utilisateurs

Et enfin, le nombre de personnes à travailler sur le même fichier Excel. Ca c’est le pire. tu ne sais jamais si les données qui sont dans le fichier sont à jour. Tu ne sais jamais si tu travailles sur la dernière version du fichier. Enfin, c’est du grand n’importe quoi. C’est un peu comme si dans ton dressing, n’importe qui peut prendre à n’importe quel moment n’importe quoi. Ok ça s’appelle des adolescents, mais c’est grave quand même !

Cette petite vidéo c’est pour t’alerter sur les problèmes les plus fréquents que l’on rencontre sur des fichiers Excel. Et c’est là où il y a des gains faciles et rapides à faire. Donc traque les usages déviants d’Excel, c’est une bonne façon de commencer la transformation numérique de ton entreprise. Evidemment, pour poursuivre, tu peux t’abonner à cette chaîne Youtube et cliquer sur la petite cloche pour être avertie des dernière nouveautés. Tu peux aussi aller voir la vidéo sur Pourquoi faire ses tableaux de bord avec Excel est une très mauvaise idée. En tout cas en regardant cette vidéo tu as déjà fait le premier pas dans la transformation numérique. Parce que la transformation numérique c’est ici et je peux t’aider.

Optimiser son business : cas concret

Aujourd’hui, une vidéo un peu différente parce que c’est la vidéo de Noël. Et qui vidéo de Noël dit chapeau de noël. Pas de conseil pratique, juste un retour d’expérience sur un cas concret que nous avons eu cette année avec un de nos plus gros client. Et tu vas probablement t’apercevoir qu’il y a plein de trucs qui peuvent s’appliquer directement à ton propre cas. Allons-y !

Alors pour poser le contexte, c’est une grosse PME avec une activité internationale, qui existe depuis très très très longtemps, mais qui comme tant d’autres, n’a pas su tirer profit de ce que pouvait lui apporter la technologie et cela commençait à devenir très problématique.
Alors tu comprendras bien que pour des raisons de confidentialité, je ne peux pas en dire trop, je peux pas citer de nom, mais bon si tu regardes la vidéo jusqu’au bout tu risques quand même de savoir de qui il s’agit.
Et puis, comme c’est la période de Noël, eh ben écoute la vidéo jusqu’au bout parce qu’il y a des cadeaux. Forcément, c’est Noël !

La société

Alors voilà le tableau : C’est une société qui produit et qui expédie des centaines de milliers d’articles à travers le monde tous les ans. On parle de dizaine de milliers de SKU.
Côté logistique c’est plutôt bien géré, et franchement y avait pas grand chose à faire.
Un des plus gros problèmes c’était la gestion des stocks.

Des stocks trop importants, des problèmes de coût évidemment, mais aussi des mauvais calculs de couverture donc des ruptures d’approvisionnement et des productions arrêtées.

Il y avait aussi un volet social avec beaucoup de personnels très spécialisés mais vieillissants et pas forcément à l’aise avec la technologie. Et donc une forte résistance au changement. Et surtout une chaîne de management très verticale. Le boss veut s’occuper de tout, veut mettre son grain de sel partout. Les demandes clients, le SAV, la Com bien évidemment, la logistique parce que ça, c’est son petit dada, et puis le suivi des productions… Enfin tout et n’importe quoi.
Le problème c’est qu’il n’a pas d’outils de reporting alors il prend ses décisions à l’ancienne comme il l’a toujours fait en se basant sur sa très longue expérience. Mais le problème c’est que quand on ne se base pas sur des données factuelles, eh ben des fois, comme tout le monde, on fait des erreurs. Alors qu’est-ce que l’on a fait pour eux ?

La gestion des stocks

Alors, la problématique initiale du boss par rapport son stock, ce n’était même pas un problème de coup mais un problème de place. Au fil des années, la demande s’est accrue et son espace de stockage s’est réduit. Oui, ça peut paraître bizarre mais c’est une conséquence directe du réchauffement climatique. Ne ris pas ! Cela va arriver à plus en plus de monde, malheureusement. Alors nous avons regroupé dans un même outil, les ventes faites aux clients, les planifications des productions, les commande faites aux fournisseurs avec les différents délais de livraison, pour éviter toute rupture dans les chaînes de production.

La saisie automatique

Ensuite, on a mis en place un système de code barre pour éviter toutes les saisies manuelles : plus de fiabilité, plus de sécurité, plus de productivité. C’est incroyable le nombre d’endroits où on saisit encore tout manuellement. Pourtant une scannette à code barre ça coûte cinquante euros à peine. Mais on préfère que les gens ils saisissent tout avec leurs petits doigts dans le système. Ou encore mieux, raffinement subtile, ils saisissent tout sur un papier avec un crayon et ensuite, bah ils recopient, dans le système, toujours avec leurs petits doigts. Après tout, on s’amuse comme on peut non ? Mais revenons à nos moutons.

Le suivi de la consommation

On a aussi généré des feuilles de production en plusieurs langues, spécifique à chaque série à produire pour éviter tout problème lors de la production. Là encore, code barres pour s’assurer que les bons produits sont utilités pour chaque production. Couplé au système de reporting, cela permet de suivre les cadences et les surconsommations éventuelles par rapport aux planifications. Pour chaque production, le boss peut suivre le coût de la production, en fonction du coup des matières premières ou des produits semi-finis qui rentrent en jeu. Et puis évidemment les coûts salariaux. Avec l’automatisation du reporting, le boss a ses tableaux de bords avec tous ses petits indicateurs mis à jour en temps réel. C’est super !

Concrètement, cela a permis de réduire les temps de paramétrages des chaines de production en regroupant des productions similaires. Cela a aussi permis de mettre en place une prime pour les ouvriers respectant les cadences. Et enfin, cela a permis de réduire les problèmes de conformité en évitant d’utiliser des mauvais produits lors de l’assemblage des productions.
On a aussi amélioré le contrôle qualité car la plupart des produits fabriqués par cette entreprise sont soumis à des normes draconiennes dans les différents pays d’exportation. Ta-ta-ta.
Il y avait aussi un volet maintenance du parc volant pour s’assurer que le jour J, tout se passerait bien pour la distribution. Car cela n’a l’air de rien, mais un renne c’est beaucoup d’entretien et les coûts pour l’entreprise peuvent vite exploser si le suivi n’est pas fait en temps et en heure.
Mais le plus difficile, cela a été d’intégrer le chef de la production. Cela faisait des centaines d’années qu’il n’avait pas évolué, qu’il n’avait pas changé ses méthodes de management. C’est important qu’il participe activement à la mise en place du projet. D’abord parce que c’est lui avait la connaissance, et puis ensuite c’est toujours un très bon exemple quand la direction s’implique dans la mise en place des projets. Comme ça l’ensemble des elfes savaient que ce n’était pas une lubie de plus du père Santa.
Et au final, malgré une demande toujours croissante, le Père Noël devrait encore assurer cette année et on n’est pas peu fier de se dire que c’est un peu grâce à nous, un peu grâce à BusinessWidg. On espère cependant que la banquise va quand même s’arrêter de fondre à un moment où à un autre. Pour ça il faudrait que tout le monde participe, parce que sinon, le père-Noël, un jour, il pourra plus rien faire au Pôle Nord.

Bon en attendant de découvrir ce qu’il y a au pied de ton sapin, tu peux te faire deux cadeaux. Le premier c’est tout simple, c’est de t’abonner à cette chaîne et de cliquer sur la petite cloche pour être averti des nouveautés. Et le deuxième c’est d’aller récupérer le livre « Pas de place au hasard » qui va t’aider à faire plein de bons choix tout au long de l’année prochaine. Et au-delà de ce cas concret du Père-Noël, et je sais qu’il y a des esprits chagrins qui vont dire que je romance. Il y a toujours des grognons pour pas croire ce qu’on leur dit. Ce que je raconte dans cette vidéo c’est une compilation de cas réels sur lesquels on est intervenu ces derniers temps. Car oui, la transformation digitale, c’est aussi du concret, et des fois il faut savoir mettre les mains dans le cambouis. En tout cas, toi tu n’as pas besoin de commander au père Noël ton kit de transformation digitale des entreprises, car tu es au bon endroit. Car tu sais bien, la transformation numérique, c’est ici et je peux t’aider.